Meilleurs avocats en Maltraitance en maison de retraite à au Canada
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1. À propos du droit de Maltraitance en maison de retraite à Canada
Le droit visant la maltraitance en maison de retraite protège les résidents contre les abus physiques, psychologiques, sexuels et la négligence. Les résidents disposent de droits fondés sur les lois provinciales et sur le Code criminel pour signaler les actes répréhensibles et obtenir réparation.
Les établissements de soins de longue durée doivent mettre en place des mécanismes de signalement, d’enquête et de prévention. Les juristes et conseillers juridiques spécialisés en droit des aînés peuvent aider à interpréter ces protections et à sécuriser les recours appropriés.
Les résidents et leurs proches bénéficient de garanties de transparence, d’accès au dossier, et de recours auprès des autorités de régulation. Des preuves solides et une stratégie juridique adaptée augmentent les chances d’un résultat favorable.
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, l’abus des personnes âgées est une problématique de santé publique reconnue internationalement.
La Canadian Bar Association souligne l’importance d’un accès rapide à des conseils juridiques spécialisés en droit des aînés pour protéger les droits des résidents.
2. Pourquoi vous pourriez avoir besoin d'un avocat
Un avocat peut vous aider lorsque vous devez comprendre et faire appliquer les droits d’un résident d’un centre de soins. L’intervention peut désamorcer les situations et éviter des escalades inutiles.
Cas concrets : vous découvrez des preuves de maltraitance physique ou psychologique et devez engager une enquête indépendante et des réclamations auprès du régulateur. Un juriste peut préparer les plaintes et coordonner avec les autorités compétentes.
Cas concrets : des erreurs de médication ou des omissions dans le plan de soins nécessitent une évaluation juridique et des recours pour corriger la prise en charge. Un conseiller juridique peut solliciter des attestations et des réparations.
Cas concrets : un résident est menacé d’expulsion ou de transfert sans consentement éclairé, ou voit ses droits entravés lors d’un changement de résidence. L’avocat peut défendre les droits de demeure et les procédures de recours.
Cas concrets : l’accès aux dossiers médicaux et à l’information sur les soins est restreint. Un juriste peut demander légalement l’accès et clarifier les obligations de confidentialité.
Cas concrets : questions de capacités décisionnelles ou de tutelle/curatelle. Un avocat peut évaluer les options de mandataire et les protections juridiques applicables.
Cas concrets : litiges avec l’établissement sur les coûts, les frais cachés ou les changements de contrat. Le conseiller peut vérifier les clauses et engager les recours économiques appropriés.
3. Aperçu des lois locales
Ontario
Le Long-Term Care Homes Act, 2007 (LTCHA) encadre les droits des résidents, les obligations des établissements et les procédures d’enquête interne. Il vise à prévenir les abus et à améliorer la sécurité des soins.
Le Fixing Long-Term Care Act, 2021 renforce les mécanismes de signalement, les inspections et les responsabilités des établissements. Il est venu renforcer les protections des résidents et les pouvoirs d’enquête du ministère.
Les résidents bénéficient notamment d’un cadre clair pour les signalements, des mécanismes d’inspection et de responsabilités accrues pour les fournisseurs de soins.
Colombie-Britannique
La Loi sur les soins communautaires et la vie Assisted (Community Care and Assisted Living Act, CCALA) régit les installations de soins et les services à domicile. Elle définit les droits des résidents et les obligations des opérateurs.
La réglementation associée, y compris le Residential Care Regulation, précise les conditions de vie, les soins et les procédures de signalement d’abus ou de négligence.
Les réformes récentes ont renforcé les droits des résidents et les exigences de transparence des établissements, avec un accent sur la prévention et l’intervention rapide en cas d’abus.
Québec
La Loi sur les services de santé et les services sociaux (LSSSS) structure les droits des usagers et les services offerts, y compris dans les centres de soins de longue durée (CHSLD). Elle prévoit des mécanismes de plainte et un cadre de responsabilité pour les établissements.
Les règlements et les politiques associées fixent les standards de sécurité, de qualité des soins et d’accès à l’information. Des réformes récentes ont renforcé les droits des usagers et les obligations des prestataires.
À noter, le cadre légal peut varier selon la province et inclure des dispositions fédérales relatives au Code criminel pour les actes constitutifs d’abus ou de négligence grave.
4. Questions fréquemment posées
Quoi est la maltraitance en maison de retraite?
La maltraitance désigne tout acte ou omission qui cause un tort physique, psychologique ou financier au résident, ou qui compromet sa sécurité et son bien-être.
Comment puis-je signaler un abus rapidement?
Dépôt de plainte auprès du superviseur de l’établissement, puis auprès du régulateur provincial et éventuellement de la police si nécessaire.
Quand faut-il contacter une autorité de protection des personnes âgées?
Immédiatement lorsque vous suspectez une atteinte grave, des violences répétées ou des risques imminents pour la sécurité.
Où déposer une plainte officielle au sujet d’un établissement?
Au régulateur provincial compétent et, en cas d’urgence, auprès des services de police locaux.
Pourquoi dois-je envisager de consulter un avocat?
Pour interpréter vos droits, vous aider à déposer des plaintes solides et coordonner les recours civils et administratifs.
Est-ce que les coûts juridiques peuvent être couverts?
Selon votre revenu et le type d’affaire, des services juridiques publics ou des fonds d’aide juridique peuvent aider à couvrir les frais.
Ai-je besoin d’un avocat spécialisé en droit des aînés?
Oui, car ce domaine combine droit civil, droit pénal et droit administratif, avec des exigences procédurales spécifiques.
Combien de temps prend une enquête sur maltraitance?
Les délais varient selon les juridictions et la complexité, mais les enquêtes préliminaires peuvent durer plusieurs semaines à mois.
Quelle est la différence entre signaler et porter plainte pénale?
Le signalement est une notification à l’autorité compétente; une plainte pénale déclenche une procédure judiciaire pénale.
Est-ce que l’accès aux dossiers est garanti?
Les résidents ou leurs représentants peuvent généralement demander l’accès aux dossiers médicaux, sous certaines conditions et exigences de confidentialité.
Comment choisir le bon avocat pour ce type de dossier?
Vérifiez l’expérience en droit des aînés, les résultats dans des cas similaires, et la capacité à gérer les communications avec les régulateurs.
5. Ressources supplémentaires
- World Health Organization - Ressources et données sur le vieillissement et la prévention de la maltraitance, incluant des recommandations pratiques.
- Canadian Bar Association - Guides et ressources pour le droit des aînés et les litiges liés aux soins de longue durée.
- Canadian Institute for the Administration of Justice - Analyses et publications sur les questions juridiques liées aux soins et à la protection des personnes vulnérables.
6. Prochaines étapes
- Documentez les faits : consignez les dates, les noms des personnes impliquées et décrivez les incidents avec détails et preuves (photos, journaux, témoins).
- Identifiez la juridiction compétente : déterminez le régulateur provincial et les recours disponibles dans la province du résident.
- Contactez un avocat spécialisé en droit des aînés pour évaluer les options et préparer les réclamations.
- Signalez officiellement l’affaire auprès du régulateur et, si nécessaire, des autorités de police, en fournissant les preuves réunies.
- Analysez les recours disponibles : plainte administrative, action civile, recours pénal, et éventuelles mesures de protection temporaire.
- Évaluez les coûts et l’aide financière : vérifiez l’éligibilité à l’aide juridique ou à des services pro bono et planifiez les frais juridiques.
- Planifiez la suite : fixez des objectifs, un calendrier et les étapes de communication avec l’établissement et les autorités.
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